Wednesday, June 8, 2011

Thunders

Tonnerre, Savane sauvage et paradoxe inconnu
Une année s’ajoute comme d’habitude dans la vie de chaque personne, quoiqu’il en soit, c’est le destin. Il faudrait peut-être dans certains cas que l’on s’en rende compte, mais cela semble être quelque chose d’habituelle et de connu.
Comme un poignard dans le cœur, pointé et percé avec puissance et force, afin de ne plus se relever, sans force,  pendant que tout le monde cri allégresse dans tout son enthousiasme, un sourire sur le visage afin de mettre tout ceux qui sont autour bien à l’aise. Cependant, l’amertume prend le dessus. Se demandant sous une question à savoir une bonne raison de pouvoir rester au loin de toi pendant que cela n’est pas envisageable. Ainsi, le premier amour demeure inoubliable et profondément gravé dans la mémoire, des temps particuliers et plein d’énergie et de puissance qui ne durèrent que quelque mois.
Cherchant quelque chose de semblable dans la nature afin d’avoir les dix orteils sur terre. Quel souvenir vivant et irremplaçable, chose qui n’a pas si facilement emporté la passion et l’esprit, mais après, une image prit place et voulant prendre la douceur provocatrice du charme, la vigueur et la sauvagerie trouva la place de la brutalité et mis en déroute le stresse.
S’annonce paradoxalement l’inconnue et la jamais vue mais pleine de passion…pour un temps et puis pour un autre et ainsi de suite, mais demeurant toujours patient et frais, calme, de relation silencieuse, vue rare et presque sans envi mais plein d’amour. Ceci n’a aucune explication à donner en tout cas, mais s’accrochant comme à des ficèles d’argent, durs et riches mais trop sensibles. Rien ne fait oublier ni laisser inaperçu.
La sauvagerie faisant pleurer plein des larmes dans le cœur, ce qui peut se faire sentir ne sont autre que des gémissements tremblants avec murmure, appelant juste un nom puis un nom et c’est presque le milieu de la nuit, marchant sens force ni remord, se plaignant de la situation qui s’emparait des émotions, souvenirs de celle qu’on aime comme tout parent biologique, mère d’enfant et lointaine porteuse de celle qui pleure et qui fait pleurer. Signe de reconnaissance en saluant sa révérence pour le repos de son corps.
Oublier tout les souvenirs et ne laisse aucune trace avec toute la bonté et le respect possible, voilà ce qui est demandé pendant que tous se réjouissent, cela n’est pas si drôle surtout qu’il y a plein de merveilleuses personnes qui croient en ce que l’écœuré peut bien leur annoncer en tant qu’enfant de Dieu. C’est l’ultime consolation sans rien payer mais en rendant service.
L’inconnue paradoxale gardant la chaleur à communiquer au temps de froid et de frayeur. Pensant vouloir bien faire une rencontre différente pour définir le début de ne plus dire l’inconnue mais présentant un signe de réchauffement au temps d’éclatement du cœur et ce, ne supportant guère le dosage de cinq années de passion et cinq années de patience. Les sons mélodieux annoncent la fin d’une chose et l’introduction d’un événement qui se déroule dans l’inattendu et comme dans un rêve. Un peu plus de courage demande un sombrement dans la folie.
L’océan dans les mains semblablement à la pluie au temps froid prenant place dans la jungle. Le cœur bat au rythme du tambour, la passion donne un regard vitreux et irréfléchi, mais plein de désert et de température de soif des terres desséchées qui, par la suite certaine s’imprègne de l’océan sans inquiétude.
Un souvenir déjà passé, souvenu dans le paradoxe…Quelque chose se réveil et dit ceci n’est pas un hasard mais une définition comprise par soit. Prononce une parole semblable et la réaction est réversible. Les bras réchauffant  la chair de poule et les mains explorant la sensibilité jusqu’à la sensualité, les choses ne sont pas les mêmes. Sublime sourire ineffaçable deux fois, prenant le cœur et l’emporte jusque dans la maison du propriétaire. Le contrôle est accompagnateur sur le parcours nouveau et tournoyant.
Comme dans un songe et on ne se réveille pas. Sans sommeil mais on dort, alors ceci est une réplique qui attenu le moment opportun.
Je t’aime sans te le dire et tu l’entends, raison pour laquelle je l’ai dit et tu l’as entendu. Tu dis les mêmes paroles que j’ai dites sans poser des questions. Le cœur remué reste dans la stupéfaction et rien de perdu car le gain est une mérite. Je t’aime et je ne sais même pas comment t’appeler parce que tous les jolis noms au jour ou à la nuit sont propres pour toi. Alors je défini par tes yeux ronds, tes petites dents, ta voix féminine, ton enthousiasme naturelle et ton art de passion. Quoi dire encore, deux mains dans les miennes, claquant les doigts, je te porte dans mes bras et les tiens sur ton visage afin de ne pas voir le ciel sombre étoilé tourné sur ton regard. Tu dis quelque chose et voilà le temps avance pour moi et pour toi c’est la récupération. Je t’embrasse.
En mémoire de BuBois Lukusa et Marianne Nemes
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Axel Quinn                          
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